lundi 10 juin 2013






juin est déjà bien entamé que je ne me remets pas encore de mai. de mai et de ses canaux et de la vie à deux. juste à deux.
il faudrait que j'arrête d'écouter vanessa paradis, ça me fout un peu le blues.
j'ai la bougeotte. je me serais bien glissé dans la valise de misterx ce matin, qui s'envolait pour la georgie. (et moi je suis là, clouée au sol. j'ai envie d'états-unis, de hong kong, d'islande. de la frustration naît le désir, d'accord. mais faudrait pas non plus que ça dure trop longtemps, hein. là je suis prête à n'emporter qu'un jean et 2 tshirts, et à voyager dans la soute).
je regarde les enfants et les plantes pousser. c'est un peu un mystère. avec l'aura du sacré.

3 commentaires:

  1. Je crois finalement qu'un rôle ne chasse pas l'autre. La jeune fille rêveuse est toujours là, et a le droit d'exister, sans que la mère l'accuse.

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  2. Rien de plus à ajouter aux mots de dansonscapucine qui sont très justes. Bientôt, bientôt. Encore, encore, ces doux moments à deux. Et du désir naît les grandes choses.

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  3. j'ai souvent ce sentiment aussi, d'autant plus qu'une fois de plus nous ne prenons pas de vacances à 3 cette année et je suis seule la plupart du temps.
    il faut alors se nourrir de ses rêves, créer, lire, s'enrichir bien qu'en restant "clouée" où l'on est...
    (peut-être qu'il faudrait que j'arrête de jalouser les blogs des serial voyageuses "en amoureux", aussi...)

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